Depuis des années, les chercheurs s’efforcent de comprendre comment les mutations d’un gène appelé LRRK2 peuvent accroître le risque de développer trois maladies très différentes : la maladie de Parkinson (qui touche le cerveau), la maladie de Crohn (qui touche les intestins) et la lèpre (qui touche le système nerveux périphérique). Récemment, une équipe de chercheurs canadiens a constaté que l’inflammation est probablement la coupable. Leurs résultats ont été publiés dans la revue Science Translational Medicine.
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