Par : Asiya Rolston, Ottawa Citizen

Avant que le Canada ne ferme ses frontières en mars, j’étais en voyage dans mon pays d’origine, le Pakistan. À mon retour, j’étais très reconnaissante pour la sécurité et le confort dont nous bénéficions au Canada, mais je ressentais aussi un sentiment de culpabilité, car je savais que la différence entre ce que j’avais et ce que quelqu’un d’autre n’avait pas, n’était qu’une question de chance.
Lire l’article complet du Ottawa Citizen (publié en anglais)