Un premier patient reçoit une nouvelle combinaison d’immunothérapie et de virothérapie expérimentales dans le cadre d’un essai Clinique

Les gouttelettes d'eau

« Ces dernières années, l’immunothérapie s’est révélée très prometteuse pour le traitement de certains types de cancer, mais nous commençons tout juste à comprendre et à optimiser cette approche »

— a expliqué le Dr Garth Nicholas, professeur adjoint à l’Université d’Ottawa, et oncologue médical, responsable de l’essai clinique à L’Hôpital d’Ottawa.

L’Hôpital d’Ottawa et le Centre des sciences de la santé d’Hamilton ont entrepris un essai clinique pour tenter de déterminer si un traitement expérimental associant deux virus et un médicament est efficace pour traiter le cancer du poumon non à petites cellules. L’approche utilisée est considérée comme une forme d’immunothérapie. Elle vise à stimuler le système immunitaire pour qu’il puisse déceler, attaquer et détruire les cellules cancéreuses.

Le premier participant à l’essai a récemment été traité au Centre des sciences de la santé d’Hamilton. On prévoit recruter et traiter 54 autres patients dans le cadre de l’essai à Hamilton, à Ottawa et ailleurs.

« Ces dernières années, l’immunothérapie s’est révélée très prometteuse pour le traitement de certains types de cancer, mais nous commençons tout juste à comprendre et à optimiser cette approche », a expliqué le Dr Garth Nicholas, oncologue médical, responsable de l’essai clinique à L’Hôpital d’Ottawa et professeur adjoint à l’Université d’Ottawa. « Nous espérons que cette nouvelle combinaison d’immunothérapies fera une différence pour les personnes atteintes du cancer du poumon. »

« Le cancer du poumon est le cancer le plus fréquent au Canada, et plus de 28 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année », a précisé la Dre Rosalyn Juergens, responsable de l’essai, oncologue au Centre des sciences de la santé d’Hamilton et professeure agrégée à l’Université McMaster. « Nous avons fait de grands progrès dans l’amélioration des taux de survie et des résultats des patients, mais nous pouvons faire plus. L’immunothérapie est à la fine pointe d’un nouveau courant de traitement du cancer. Nous sommes emballés par le potentiel qu’elle offre aux patients atteints de cette maladie dévastatrice. »

Lire le communiqué.

Dr. Garth Nicholas

DGarth Nicholas

 

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